Affiche du film "Le Majordome"

The butler

Le Majordome

Au service de sept présidents il a traversé trente ans d'histoire.

20132 h 12 min
Résumé

Le jeune Cecil Gaines, en quête d'un avenir meilleur, fuit, en 1926, le Sud des États-Unis, en proie à la tyrannie ségrégationniste. Tout en devenant un homme, il acquiert les compétences inestimables qui lui permettent d’atteindre une fonction très convoitée : majordome de la Maison-Blanche. C'est là que Cecil devient, durant sept présidences, un témoin privilégié de son temps et des tractations qui ont lieu au sein du Bureau Ovale. À la maison, sa femme, Gloria, élève leurs deux fils, et la famille jouit d'une existence confortable grâce au poste de Cecil. Pourtant, son engagement suscite des tensions dans son couple : Gloria s'éloigne de lui et les disputes avec l'un de ses fils, particulièrement anticonformiste, sont incessantes.

Métadonnées
Réalisateur Lee Daniels
Durée 2 h 12 min
Date de sortie 16 août 2013
Détails
Média
Statut
Note Bon
Images
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Rêve de maison blanche.

De l’ascension sociale à laquelle accède un homme qui ne rechignera jamais à la tâche au chaos d’une période mouvementée, l’illustration du véritable personnage Ganes, mis en lumière par un Whitaker impeccable qui n’a d’égal que Winfrey.

La reconstitution de l’époque et des situations est superbe, avec l’évocation, parfois amusante, de l’œil d’un homme qui aura suivi des présidences et aura parfois payé le prix fort de sujets auxquels il aura participé sans jamais avoir le droit de dire mot.

La première partie m’a semblée très longue, avec une mise en place d’éléments bien qu‘on ai pas besoin de temps de détails il me semble. Heureusement la seconde partie bien bousculer l’histoire, surtout à partir de la mort de MLK. Tout devient percutant, les Black Panthers, la révolution est en marche, un conflit inexplicable, la perte de proche….Une histoire où se mêlent inspiration d’un homme et évolution des mœurs.

Même si je regrette un peu la première partie du film, il n’en reste pas moins que le film laisse une belle sensation de combat pour une véritable évolution jusque la révolution ultime ; « parce qu’il le pouvait » et parce que « l’Amérique est le pays où tout est possible ».

Author: admin5508

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