Résumé
Parker est un braqueur professionnel avec un code de conduite : ne jamais voler ceux dans le besoin, ne jamais blesser d’innocents. Lors d’un hold-up, il se fait doubler par ses associés qui lui dérobent sa part du butin et le laissent pour mort. Déterminé à récupérer son dû, Parker retrouve leur trace à Palm Springs alors qu’ils préparent un braquage particulièrement ambitieux. Aidé de Leslie, une agent immobilière sans le sou mais particulièrement ambitieuse, Parker planifie alors sa vengeance.
Un cambrioleur aux principes essentiels, part se venger de ses ex coéquipiers après qu’ils l’aient laissé pour mort à la fin de leur dernier coup.
Lourde déception pour un Jason que j’aime pourtant tellement.
Je me suis vraiment ennuyé durant tout le film, on est à des années lumières de « Ray » ou même « L’échange ».
Le film est mou, mise à part une scène, celle de l’hôtel, où ça bouge, enfin. Mais pour le reste, on s’endort. Même les deux casses sont expédiés parce que l’on a autre chose à montrer; la question c’est : quoi?
Une histoire incongrue et des personnages, comme la Lopez, à n’y rien comprendre, d’ailleurs elle comprend pas grand chose. La petite fiancé, qui elle, aurait pu apporter quelque chose, mais reste invisible. La chose qui fait pas grand chose. Le flic, juste là pour faire chier…etc…
Jason a voulu faire le truand bon samaritain avec une fin pathétique et le braqueur au grand cœur qui réconforte ses victimes, mais on nage en plein mélo et les 10 premières minutes donnent le ton, presque à prendre la main du « p’tit poulet » pour pas qu’il est peur.