Résumé
Un mystérieux virus a détruit toute civilisation. Les rescapés vivent dans des bunkers fortifiés, redoutant leurs anciens semblables devenus des monstres dévoreurs de chair. R, un mort-vivant romantique, sauve contre toute attente Julie, une adorable survivante, et la protège de la voracité de ses compagnons. Au fil des jours, la jeune femme réveille chez lui des sentiments oubliés depuis longtemps… Elle-même découvre chez ce zombie différent autre chose qu’un regard vide et des gestes de momie… Perturbée par ses sentiments, Julie retourne dans sa cité fortifiée où son père a levé une armée. R, de plus en plus humain, est désormais convaincu que sa relation avec Julie pourrait sauver l’espèce entière… Pourtant, en cherchant à revoir Julie, il va déclencher l’ultime guerre entre les vivants et les morts. Les chances de survie de ce couple unique sont de plus en plus fragiles…
L’amour est plus fort que tout, même de la mort.
Voilà un film qui a le mérite d’être vraiment original.
Un sujet de plus sur les zombies, mais cette fois, une petite love story va tout changer.
Tout est bien présenté, et pas de temps perdu à expliquer le pourquoi du comment.
On s’attache très vite à l’histoire de ces deux jeunes, dont l’aventure nous garde dans le bain jusque la fin.
Le sujet central, c’est l’amour et bien sûr on est loin des classiques sanguinolents.
Néanmoins, le suspens est là et la petite touche d' »osseux », très bien fait au passage, entretient la relation grandissante et le dénouement qui semble prévisible sans rendre le final inintéressant.
Dans le style du moment, les vampires sont relégués aux oubliettes car on a au moins le plaisir de suivre les amoureux sans perdre 3 plombes à savoir s’il elle sera mordue ou non, bisouillé ou non, le tout sur des scènes interminables et creuses à la twilight. Là on a un sujet et il se tient bien jusqu’au bout.
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Et oui, les coup de foudre sont de vrais électro-chocs, ça vous ramènerait un cadavre à la vie.
J’ai beaucoup aimé la voix off de notre « r » qui erre et interprète ou fait interpréter à son support les choses à dire ou à faire, encore un point original du personnage qui l’humanise en définitive.
En tous cas, les deux héros sont vraiment intéressants et attachants sans en faire trop.
Nicolas Hoult est un zombie terrible et coatch bien la jolie Palmer en hésitant pas à lui dire « là, t’en fait trop », d’ailleurs, ce moment n’est pas sans rappeler quelque chose…..
…….. »vraiment trop »…
Donc, pour les amateurs de films du genre, à voir pour un truc qui sort vraiment des sentiers battus.
