Résumé
Au début des années 20, Pékin est le théâtre des affrontements entre les seigneurs de la guerre et les révolutionnaires. Virevoltant au cœur de cet univers chaotique, des centaines d’artistes sont prêts à relever tous les défis pour se faire un nom. Parmi eux, un mystérieux magicien impose sa suprématie le jour où il accomplit un tour réputé irréalisable. Sa renommée grandissante provoque de vives tensions entre les généraux assoiffés de pouvoirs.
Un cœur à prendre pour 2 prétendants que tout oppose.
Un film pour le plaisir de revoir Tony Leung.
Le problème, c’est que là j’avoue avoir du rater quelque chose.
L’histoire alterne un conflit qui se prépare d’une manière ridicule…et l’histoire d’un magicien interprété par Leung, mais vraiment creuse.
Les dialogues sont aussi absurdes que le reste.
Les images, quant à elles, sont jolies et colorées mais ce serait faire abstraction de l’histoire qui semble décousue est inintéressante.
Tout ressemble à un vaudeville maladroit qui se cherche un objectif, en vain.
Il n’en reste que des tours de passe passe avec le feu et des pétards mouillés.
Et puis, au bout d’un quart d’heure, j’ai pris le film comme une comédie pour enfant.
Et là, face à cette nouvelle perspective de cinéma comique avec un sujet principal qui en définitive se résume plus à une belle histoire d’amour sur fond humoristique, je dois dire que j’ai bien apprécié la suite de l’histoire.
Un bel épisode qui relève plus en définitive de la mise en scène théâtrale « de la vie » qu’autre chose, haute en couleurs.
Des rebondissements soudains concernant une ancienne idylle ou la soif de conquête de pouvoir enveloppés dans des tours à moitié révélés et orchestrés grâce à de belles teintes nuancés de nuages et d’élixirs.
Finalement, ce conte chinois aura été pour moi une petite distraction agréable.
