Résumé
Membre de la police du Capitole, John Cale vient de se voir refuser le job dont il rêvait : assurer la protection du président des États-Unis. Espérant éviter à sa fille une déception lorsqu’il lui apprendra la nouvelle, il l’emmène visiter la Maison-Blanche. C’est à ce moment qu’un groupe paramilitaire lourdement armé attaque le bâtiment. Alors que le gouvernement américain sombre dans le chaos, Cale va tenter de sauver sa fille, le président, et le pays tout entier…
Un homme pour sauver le monde 2, nom de code Cale…(facile..)
Tatum / Foxx…..Foxx / Tatum…..ouaaaouuuu…..mais ça c’était avant!!!
Après m’être endormi au bout de 25 minutes et réveillé au bout de 30 au pétage de la coupole, un petit retour rapide pour reprendre le film. Ba oui, le début est vraiment soporifique mais après ça bouge…
Côté scénar, c’est vraiment limite. De l’entretien pourave avec l’ex qui découvre que, ooohhh c’est toi, incroyable…aux radios qui expliquent point par point l’endroit où il faut taper pour faire mal; mais heureusement il y a des couteaux, des gros, les déclassifications de dossiers classifiés sur le champ, un p’tit coup de 25ème amendement….et blablabla…on a même droit aux hélicos qui se font flasher!!! c’est un gag!?!?
Pour cette deuxième version de la fin de la maison blanche ou de son président, c’est pas bien la joie.
C’est vrai que trouver un bon sujet original n’est pas facile et le mettre en scène encore plus.
Le casting était pourtant large d’épaule mais 2 cerveaux et un muscle ne suffiront pas cette fois encore.
Après y’a de la cascade et des explosions sympas, notamment les hélicos (là y’a des bons points) et un avion (mais où est Iron Man?) agrémenté de tirades rigolotes (encore avec des hélicos…. flashés) et le top du top restera sans aucun doute la télé dans les chasseurs…..mais j’y est pas trouvé mon compte du tout.
Je m’attendais à un truc à la « 2012 » fin des USA donc fin du monde, mais ça sera pas ça du tout.
[i]Au delà de tout ça, on se demanderait presque, à un moment, si un revanchard des tours n’aurait pas écrit le scénario, d’une partie de l’Amérique désireuse de faire péter la moitié du Moyen Orient…[/i]
