Résumé
Jay et Annie s’aiment, mais dix ans de mariage et deux enfants ont un peu érodé leur passion. Pour ranimer la flamme, ils décident de filmer leurs ébats lors d’une séance épique. L’idée semble bonne… jusqu’à ce qu’ils s’aperçoivent que la vidéo a été envoyée par erreur à tout leur entourage, familial et professionnel ! Pris de panique, ils sont prêts à tout pour faire disparaître le film à scandale chez chacun des destinataires. Ils jouent leur réputation, leur carrière, leur mariage et leur santé mentale…
Vive les gosses.
Encore une comédie pour Diaz et c’est de pire en pire. Le couple est bien lourdingue avec des situations qui cherchent à être loufoque mais n’y parviennent pas. Les amis et autres n’apportent rien non plus et au final, cela m’a fait pensé à un mauvais retour d’has been à la recherche d’un cachet foireux pour payer le loyer de fin d’année. Même le plaisir de voir la belle Cameron est terni.
L’histoire peine à trouver un chemin à travers les méandres d’une quête de fichiers grossièrement mise en place tout comme ma scène qui n’arrive pas et n’en finit pas d’être reculée pour finalement assister à pas grand chose. C’est tourné à la va vite avec une impression de peu de moyen comme s’il fallait faire un truc vite fait avant la fin de je ne sais quoi. C’est encore plus mauvais que Bad teacher où au moins, Cameron faisait tout oublier.
Pourtant le sujet était loin d’être bête, je m’attendais à un truc bien gratiné avec des rebondissements. En plus, pour une fois que cela risqué de sortir du contexte puritain et pseudo protectionniste américain, mais c’était sans compter sans une auto censure qui ne se laissera aller que dans une seule chose, le nombre de « fuck » prononcés qui bat là surement un nouveau record, surtout sans rien montrer.
Gros ennui du début à la fin, avec l’incompréhension d’avoir aperçu un semblant de scénario couillu et sans intérêt.
