Affiche du film "Pixels"

Pixel

Pixels

Jouer pour sauver la planète.

20152 h 01 min
Résumé

À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques...

Métadonnées
Réalisateur Chris Columbus
Durée 2 h 01 min
Date de sortie 16 juillet 2015
Détails
Média
Statut
Note Bon
Images
Aucune image importée pour ce film.

Pac-Man est méchant.

Je ne voyais pas trop comment le film allait pouvoir tenir 2 heures sur le sujet aux idées nostalgiques. Mais très vite le ton est donné et clairement c’est celui de la dérision. Ce film joue avec les souvenirs pour les plus anciens et éveille la curiosité des plus jeunes en relançant des personnages de jeux qu’on ne présente plus et les laisse exploser de la dimension de l’écran où ils sont capturés. L’action est très présente et le jeu des acteurs totalement décalé avec une réalité illusoire du président au colonel en passant par le geek réparateur de hifi donne le ton à cette comédie burlesque. C’est coloré et bien animé et c’est ce que l’on retiendra de l’aventure improbable vécue par une humanité qui va sortir de sa morosité. James retrouve une nouvelle fois son pote Sandler, un peu moins antipathique qu’à son habitude. La belle Monaghan, quant à elle, ravie par sa présence. Un sacré mélange d’univers dont Colombus semble se régaler à la manière d’ « Une nuit au musée » dans lequel des personnages viennent interférer dans une réalité toute relative ; voir encore plus fort dans ses « Harry Potter ». Un univers toujours plus grand pour révéler les personnages du réalisateur en manque d’espace, à l’image de celui dans lequel on envoie le message. Une bonne distraction.

Author: admin5508

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