Résumé
Mike Banning, ancien garde du corps du président des États-Unis, s’occupe désormais des basses besognes des services secrets. Lorsqu’un commando nord-coréen lance une attaque sur la Maison Blanche, prenant en otage le président américain et son fils, il se retrouve seul à pouvoir leur venir en aide. Deux ans après avoir été tenu responsable de la mort accidentelle de la Première Dame, il va pouvoir faire preuve de sa loyauté et de sa bravoure.
Un homme pour sauver le monde, nom de code Banning…
Pour moi, là, on est dans le top 10 du nanard de l’année!
Bien sur les effets spéciaux sont terribles, ça pète et ça tue dans tous les sens aussi rapidement que le taux galopant d’incohérence.
Mais côté scénario, on a atteint l’inaccessible…le blocos de la maison blanche.
Evidement, un film pareil ne demande que de faire le vide pour s’évader sans réfléchir à quoi que ce soit, mais là on est au bord de la lobotomie.
Les acteurs font du recuit, Freeman fait de Freeman pour changer, Butler à des pétards à la place des lances et les asiats font du ninjjjjja.
Rien d’original, ni dans la forme ni dans la manière. Tout est couru d’avance.
On fera mourir la mère mais pas l’enfant, on rasera la moitié de la planète mais on sauvera le président des états unis d’Amérique….
Et surtout, surtout, on se félicitera à la fin de l’histoire, quand le héro (oscar zulu 309….aahhh Banning; vive les codes brouillé radio) aura réglé tout le merdier; enfin, parce que la final des Wizards allait commencer et qui fallait pas rater ça.
En bref, je m’attendais à du spectacle, mais pas que, enrobé dans des lieus communs cinématographiques à répétition, regrettables.
Et encore heureux que le film se gargarise d’un tel casting, car sans celui ci, il aurait surement fini en sortie BR direct.
