Résumé
En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d'échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de se propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l'égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu'à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s'élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées - mais s'il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.
Astro J. Mnémonic est en route pour sauver toute l’humanité et ça va bouger.
Le film se termine et 2 heures après, je peux dire que j’en ai prit plein les yeux.
Les effets spéciaux sont incroyables et la musique à la « Oblivion » est vraiment présente pour renforcer l’intensité des actions.
Le film ne laisse pas la moindre place à l’ennui. Même la love story s’encombre d’actions et de rebondissements participants à l’excitation de l’histoire.
Le sujet, bien que peu original, suit un scénario net et rapide, voir parfois un peu trop rapide.
Pas besoin d’approfondir, ce que le personnage principal nous fait découvrir à travers ses yeux, pour comprendre ce qu’est devenu la Terre, le pourquoi du satellite…etc…
Et puis, l’intro nous amène à bien cerner ce nouveau monde et ses règles inhumaines et se prêtant à justifier encore plus l’existence des deux mondes coexistant, l’un avec l’autre ou l’un pour l’autre.
Thème, qui de toute façon, est une réalité, même sans forcément être aussi éloigné.
A travers le tournage, on devine un budget énorme, à l’échelle de la réussite du pavé. On a même droit à des scènes de désintégration et ravalement de façade terribles, les balles à défragmentation peuvent aller se recoucher.
Dommage qu’il n’y en est pas plus !!!
Après, Matt Damon, que je trouve toujours génial, nous campe un jeune des « cités » plein de talent. Mais bien que ce ne soit pas un Robocop, le mélange humain/robot est savamment dosé et il sait se défendre et nous fait plaisir dans la peau d’un personnage bien trempé.
Bien content aussi, de retrouver la miss Braga après « Repo men » tellement bon.
Foster, notre bachelière toujours « à vif », est aussi froide que ce que le rôle peut l’exiger, et du haut de ses 1,60m, commande et protège à la Merkel. Le bleu de ses yeux ne servira pas à attendrir son monde.
Allez, un p’tit dernier pour Fichtner, terrible comme d’hab, et pour quel « Contact » avec cette dernière habituelle.
Côté originalité, on peut donc regretter la reprise de l’environnement de « District 9 » largement récupéré, bien que tout de même sacrément agrémenté.
A côté de ça, la station orbitale (avec 153 ans d’évolution sur une précédente sœur jumelle) est superbe et dommage que l’action ne s’y déroule pas plus, mais il aurait fallu une heure de plus.
C’est clair que l’on est en plein film grand public, et là, pour le coup, on en a pour son argent, alors sans chercher plus loin, je dirai que je me suis vraiment fait plaisir.
Pour la notation, je rajouterai une catégorie concept, ça va faire plaisir à Dun mais c’est vrai que là, ça prend tout son sens (même si on a pas toujours les même goûts)…
