Affiche du film ""

Rencontres à Elizabethtown

Rencontres à Elizabethtown

20052 h 03 min
Résumé

Chacun a droit à l'échec. Mais réussir un vrai fiasco, rater un projet de longue haleine auquel on croyait dur comme fer, ruiner d'un coup des centaines de vies, couler une boîte en 24 heures demande des dispositions particulières.C'est l'exploit que vient d'accomplir le designer Drew Baylor en créant la chaussure de sport Mercury, une aberration dont le lancement imminent pourrait bien être le bide du siècle, avec une perte sèche annoncée de 1 milliards de dollars.A trois jours de l'apocalypse, Drew reçoit un appel affolé de sa soeur. Leur père, Mitch, vient de mourir, et leur mère a sombré dans un tel état de confusion et d'agitation qu'elle est incapable de se rendre dans le Kentucky pour les funérailles. Il revient à Drew de régler les détails de la cérémonie avec la famille et les nombreux amis de la victime...

Métadonnées
Réalisateur Cameron Crowe
Durée 2 h 03 min
Date de sortie 6 octobre 2005
Détails
Média
Statut
Note Bon
Images
Aucune image importée pour ce film.

Drew vient de perdre son job, lamentablement. Mais aussi sa petite amie et de plus son père vient de mourir…

Mais pourtant, c’est au moment le plus inopportun qu’il va faire une rencontre hors du commun.

 

« Légolas » « Turner » va tout lâcher et Drew va surgir sous les traits d’Orlando Bloom pour une belle comédie, légère et romantique, et un rôle fait pour lui.

Un film qui se déroule quasiment tout le temps au bout du mobile !

Alors qu’il pense être au fond du gouffre, Drew va rencontrer la pétillante et surprenante Claire qui va changer le cours de la vision de sa vie.

Une idylle va naître de ses deux là et le couple Bloom / Dunst marche bien à l’écran et dans ce film c’est Orlando qui tombera dans la toile de la belle Kirsten.

Parallèlement à cette histoire d’amour, la crémation du défunt père et ses funérailles occupe le reste du sujet sans lui voler la vedette.

A travers l’aventure des différents personnages, la musique véhicule une belle émotion, notamment à la fin du film ou la mélancolie laisse la place à une fête…enflammée…et à un parcours « on the road 66 » pour une fenêtre ouverte sur l’ « Amérique »…et sur la vie, tout simplement…

Author: admin5508

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *