Affiche du film "Frankenweenie"

Frankenweenie

Frankenweenie

Adoptez la nouvelle création de TIM BURTON.

20121 h 27 min
Résumé

Après la mort soudaine de Sparky, son chien adoré, le jeune Victor fait appel au pouvoir de la science afin de ramener à la vie celui qui était aussi son meilleur ami. Il lui apporte au passage quelques modifications de son cru… Victor va tenter de cacher la créature qu’il a fabriquée mais lorsque Sparky s’échappe, ses copains de classe, ses professeurs et la ville tout entière vont apprendre que vouloir mettre la vie en laisse peut avoir quelques monstrueuses conséquences…

Métadonnées
Réalisateur Tim Burton
Durée 1 h 27 min
Date de sortie 4 octobre 2012
Détails
Média
Statut
Note Pas mal
Images
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Sparky, le petit chien adoré de Victor (Frankenstein ???) est mort.

A partir de là, le jeune garçon va tenter l’impossible pour le faire revenir à la vie.

 

Un (dessin animé) en noir et blanc avec une grande luminosité, même lors des scènes sombres dans lesquelles les moindres détails blancs sont soutenus, apportant un grand contraste dans l’image.

Ainsi, la lumière concentrée en un point précis, précise l’endroit où l’attention devra être portée.

Un stop-motion terriblement réaliste et un style qui n’est pas sans rappeler « Edward aux mains d’argent ». Comme si finalement les marionnettes étaient animées à travers des personnages inertes un peu à la manière du petit chien.

Ce qui donne, également, beaucoup de reliefs aux personnages.

Tim Burton nous conte une histoire détournée avec beaucoup d’adresse, à la « Frankenstein », qui a du chien.

Burton semble avoir réussi à faire un long métrage d’une partie d’idée naît de Vincent, un court métrage animé, dans lequel le garçon de 7 ans baigne dans des inspirations gothique et cherche, déjà, à faire de son chien un mort vivant…tout en voix off…autobiographique….et sans sentiments…

Un sujet dans lequel, la musique, joue toujours un rôle d’acteur et donne le tempo.

Pour la seizième fois, avec Burton, ce sera l’incontournable Danny Elfman qui s’y collera.

A travers le sujet, il mêle, encore une fois le drame romantique à la science fiction, limite horreur parfois.

La comédie, quant à elle, se fait plus que rare et le sujet reste triste, tendu et noir.

Il ne s’appuiera et n’insistera finalement que sur un côté volontairement dramatique.

Ce côté, énormément développé, donne le sentiment d’un dessin animé un peu plus réservé à un public adulte, un peu à la manière d’un « Numéro 9 ».

Une manière d’aborder le thème du film d’animation bien différente surtout quand on pense que la distribution sera assurée par Disney. Bien étonnant pour cette dernière, qui n’aura pas réussi à la saborder, comme certaines de ses dernières grosses productions comme « Iron Man III ».

On s’attache à ce petit personnage et la solide histoire d’amour qui le lie à son maître

(à la manière un peu glauque d’un « Noces funèbres »).

Le rapport, à lui seul, entre les deux êtres, permettra une sensiblerie, touchant les plus jeunes, même si je reste persuadé, qu’au final, il ne sera pas pour tout public.

Author: admin5508

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