Résumé
Alors qu'il effectue un vol entre New York et Londres, Bill Marks, un officier de la police de l'air qui déteste prendre l'avion, reçoit un message sur son téléphone, une ligne a priori sécurisée. L'inconnu, qui dit se trouver parmi les 146 passagers, menace d'assassiner une personne toutes les 20 minutes si on ne lui remet pas 150 millions de dollars. D'abord incrédule, Bill Marks le prend au sérieux quand un premier passager est retrouvé mort dans les toilettes. Alors qu'il tente de trouver le terroriste, on l'accuse de vouloir détourner l'avion. Marks tente de déjouer le piège dans lequel il est tombé, alors que l'armée est sur le point d'intervenir...
Mal de l’air carabiné.
Pas évident de tenir la longueur dans un espace aussi petit que l’intérieur d’un avion.
Neeson est bon mais fait la gueule tout du long. Visiblement, il n’est pas bien, ce que l’on doit bien admettre après la première demi-heure mais sans explications particulières, et je n’ai pas vraiment trouvé de raisons à son état dès le départ si ce n’est la pseudo déroute professionnelle tirée par les cheveux!
J’ai trouvé ça bien long à démarrer avec des suspections plus grosses les unes que les autres et au final il ne m’a pas semblé qu’il se passait grand chose.
Heureusement, l’action rattrape les longueurs du début et laisse place à un espèce de thriller qui permettra de faire subsister une curiosité jusque la fin, dans un espace qui se réduit de nouveau au fil de l’histoire.
Finalement je sorts déçu avec un Liam que j’aime beaucoup d’habitude mais qui là m’a laissé perplexe.
Du début à la fin il est stressé, comme si on lui avait piqué sa fille! Il est en sueur avant même d’embarquer et je ne comprends toujours pas le pourquoi du comment ou l’intérêt de cet état.
Conclusion, un huis clos lors duquel j’ai trouvé le temps long, un regain d’action de courte durée en fin de seconde partie avec une fin plus que convenue, pas le meilleur de Neeson mais il était là, heureusement, loin d’être du non-stop de tension.
