Affiche du film ""

Le crocodile du Botswanga

Le Crocodile du Botswanga

20141 h 30 min
Résumé

Leslie Konda, jeune footballeur français talentueux, repéré à son adolescence par Didier, un agent de faible envergure qui a su le prendre sous sa coupe, vient de signer son premier contrat d’attaquant dans un grand club espagnol. Dans le même temps, sa notoriété grandissante et ses origines du Botswanga, petit état pauvre d’Afrique centrale, lui valent une invitation par le Président de la République en personne : Bobo Babimbi, un passionné de football, fraîchement installé au pouvoir après un coup d’état militaire. Leslie se rend donc pour la première fois dans le pays de ses ancêtres accompagné par Didier pour être décoré par le Président Bobo qui s’avère rapidement, malgré ses grands discours humanistes, être un dictateur mégalomane et paranoïaque sous l’influence néfaste de son épouse. À peine ont-ils débarqué que Bobo conclut un deal crapuleux avec Didier : faire pression sur son joueur afin que celui-ci joue pour l’équipe nationale : les Crocodiles du Botswanga…

Métadonnées
Durée 1 h 30 min
Date de sortie 19 février 2014
Détails
Média
Statut
Note Mauvais
Images
Aucune image importée pour ce film.

Un film loufoque à souhait, avec sur fond de retour au source natale après le décés de sa maman pour un jeune talent, toute la ribambelle de clichés sur les noirs Africains, déballés sans ambages.

Eboué, devant et derrière la caméra, s’amuse et essaye de provoquer gentiment. Deux pas en avant, trois en arrière, un peu à la manière de ses sketchs, histoire de ne froisser personne.

Ngijol re-signe avec son copain et avec talent régale dans le rôle d’un dictateur peu sûr de lui.

J’ai trouvé que le sujet évoluait peu tout au long du film, on a deux ou trois personnages dont les traits sont développés à outrance et plutôt que de constituer une histoire, je n’ai trouvé qu’une surenchère des acteurs principaux.

Heureusement, ça distrait quand même, mais la lassitude n’est jamais loin.

Ca parodie, tente la provocation avec du Hitler’s touch, mais l’action général de décolle pas et même le petit prodige, héro à la base du film, reste transparent!

Dommage pour l’équipe de case départ qui avait fait quelque chose précédemment mais ne réussit pas de retour en force.

Il faut espérer Fastlife percevra plus de récompenses…

Author: admin5508

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