Affiche du film "Noé"

Noé

Noé

La fin du monde… n’est que le commencement.

20142 h 19 min
Résumé

Noé, un père de famille, reçoit un message de Dieu au cours d'un rêve : la Terre s'apprête à subir un déluge apocalyptique, car l'homme a corrompu le monde à force de violence et d'avidité. Il part alors avec sa femme et ses enfants sur le mont Ararat et entreprend la construction d'une arche monumentale pour mettre à l'abri toutes les espèces existantes de l'humanité, sauver les innocents et préserver la vie sur Terre. Il accomplit ainsi son destin hors du commun. Mais il se heurte à un seigneur de la guerre qui cherche à régner sur ce monde dévasté, et qui lance une armée entière contre lui...

Métadonnées
Réalisateur Darren Aronofsky
Durée 2 h 19 min
Date de sortie 7 mars 2014
Détails
Média
Statut
Note Excellent
Images
Aucune image importée pour ce film.

A la recherche de la part de bon chez l’homme.

 

Un superbe film ce Noé, et une adaptation contemporaine formidable.

Oublier les péplums et films bibliques et laisser la place belle à une imagination nouvelle pour faire de nouveaux adeptes autour de sujets pieux ailleurs que dans les églises, pari gagné. Une belle approche et des projections visuelles et sonores qui retentissent encore bien dans ma tête.

Des personnages modernes, avec une vision revisitée d’évènements mille fois entendus pour restituer un film accrocheur ne se contentant pas de jouer sur des effets spéciaux incroyables. Beaucoup de rebondissements à travers cette petite famille dont le destin va être disproportionné et le récit d’une quête attirante tant dans les personnages que dans les péripéties qu’ils devront traverser ensemble.

L’homme, bien sûr, est au centre du sujet, à travers deux faces, deux côtés. Noé pour le bien, et le maître des forgerons pour le mal, l’eau et le feu…tout se mêle pour mettre le doigt sur l’essentiel, l’amour fraternel entre tous les hommes, ce qui devrait les unir, ce qui devrait éviter la fin d’un monde à travers la renaissance d’un nouveau, lavé, lessivé après avoir traversé un démiurge phénoménal.

Crowe renoue ici avec un rôle fait pour lui, à mon sens, bestial, primaire, ça lui va comme un gant. Et à ses côtés, Connelly, toujours aussi belle, qui incarne une douceur équilibrant merveilleusement le couple.

Des images fortes que ce soit sur des aurores brulantes ou des mains qui se trouvent et renaissent de la terre et j’en passe.

Author: admin5508

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