Affiche du film ""

Snowpiercer

Snowpiercer : Le Transperceneige

2031. Nouvelle ère glaciaire. Le dernier refuge de l'humanité est un train.

20132 h 06 min
Résumé

2031, Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…

Métadonnées
Réalisateur Bong Joon-ho
Durée 2 h 06 min
Date de sortie 1 août 2013
Détails
Média
Statut
Note Mauvais
Images
Aucune image importée pour ce film.

Et Dieu le père lui dit de faire…un train !

 

Mais que j’ai trouvé le temps long durant ce voyage.

A l’heure où je suis sur le point de voir Noé, je ne pensais pas voir une telle adaptation si vite.

A grands coups d’effets de Wagons providentiels, une histoire abracadabrantesque qui, dès le début, m’a fait me demander ce que je pouvais bien être en train de regarder. Des incohérences d’un voyage à très haute vitesse, pourquoi, parce que W aimait les traintrains comme expliqué plus tard… à travers des paysages on ne peut plus dangereux et périlleux, sans autre explication, il va falloir supporter cette lutte de deux mondes, stéréotypés jusqu’à son paroxysme pour tenter de nous faire régurgiter une pseudo réflexion sur la douce fragilité de l’équilibre nécessaire à la survie de l’espèce.

Mais quelle histoire à dormir debout ! Et que de personnages incongrus, surtout du côté des hautes sphères.

Je n’ai pas réussi à adhérer une seconde à cette histoire, qui dès le départ, pour moi, ne permet pas de prendre un quelconque repère.

Et plus ça avance, plus ça ne ressemble à rien…et que dire de l’aquarium géant et de l’abattoir…

Alors j’admets que j’ai vraiment du passer à côté de ce truc, probablement parce que je ne suis pas fan de transports en communs, mais rien n’amène à une quelconque réflexion (de ma part) … pas même le petit entretien avec Harris au cœur de la machine si ce n’est sur la nécessité de subsistance des plus forts sur les plus faibles avec l’aveu fébrile de la nécessité de coexistence de ces deux classes…

Une grosse déception que la fin ternira un peu plus par un non sens incompréhensible qui restera finalement une énigme.

Author: admin5508

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