Résumé
1936. Parti à la recherche d'une idole sacrée en pleine jungle péruvienne, l'aventurier Indiana Jones échappe de justesse à une embuscade tendue par son plus coriace adversaire : le Français René Belloq. Revenu à la vie civile à son poste de professeur universitaire d'archéologie, il est mandaté par les services secrets et par son ami Marcus Brody, conservateur du National Museum de Washington, pour mettre la main sur le Médaillon de Râ, en possession de son ancienne amante Marion Ravenwood, désormais tenancière d'un bar au Tibet. Cet artefact égyptien serait en effet un premier pas sur le chemin de l'Arche d'Alliance, celle-là même où Moïse conserva les Dix Commandements. Une pièce historique aux pouvoir inimaginables dont Hitler cherche à s'emparer.
Hier après midi, mes boys ont décidé de regarder Indi I.
Et je me suis fait avoir, donc blocage devant l’écran…
32 ans déjà, ça nous rajeunit pas, contrairement à un film qui n’a pas prit une ride.
On est au top du film d’aventures et là, Spielberg, accompagné d’un Georges Lucas qui ne peut plus se passer de son protégé, frappent un grand coup, encore précurseurs dans le genre.
On se retrouve plongé dans une chasse au trésor fabuleuse.
J’ai retrouvé un Harrisson Ford génial, à l’époque avec le vent en poupe comme peu d’acteur ont du connaître avec cette saga mais aussi « Star Wars » et autre « Blade Runner » d’anthologie…J’ai redécouvert les scènes oubliées, avec des gosses médusés.
Tout y est y compris un humour bon enfant et l’intrigue reste fantastique.
Ma seule déception, bien grand mot, serait la voix du doublage qui est celle utilisée pour Robert Redford à laquelle je préfère celle utilisée pour Harrisson Ford après, non pas que je ne l’aime pas (la voix et l’acteur) mais je me rends compte que l’on s’attache à des détails parfois…
Il ne faut pas oublier la musique qui restera à jamais gravée dans les esprits.
J’ai appris que Lucas se serait inspiré de « l’homme de Rio » pour son scénario, avec notre Bebel national, pour créer Indi, cela fait bien plaisir que le ciné Français soit quelque part présent dans ce chef d’œuvre…
A ce propos, le nom d’Indi n’était autre que le nom du chien de Lucas, anecdote humoristique reprise dans un volet suivant de ses aventures (comme celui de Chewbacca dans « Star wars »)…
Il ne me reste plus qu’à continuer la série car maintenant les gamins sont accros…tant qu’ils ne me demandent pas un fouet…
A noter, un bel Oscar du meilleur réalisateur….
Et dire qu’on va avoir la chance de voir Spielberg sur la croisette en président du prochain festival de Cannes…
