Résumé
La planète Aradius est devenue un désert stérile. Ses habitants, les Arides, sont sous le joug du Griffon, un sanguinaire tyran humain. Hirokin, guerrier solitaire au passé sombre, est laissé pour mort au milieu de l’étendue désertique après avoir tenté de sauver sa femme et son fils des mains des sbires du Griffon. Secouru par une tribu Aride, il fait la connaissance de Moss, leader de la rébellion. En suivant les enseignements de ce dernier, Hirokin va choisir d’accomplir sa destinée en combattant pour la liberté des opprimés…
Hirokin, le dernier Samouraï (rien pour ce détail pompeux dans le titre, j’en connais ici qui tueraient…)
Un peuple opprimé sur une planète sans intérêt attend le sauveur qui ouvrira la voie…
Génial, j’avais adoré Star Wars et son Dark Vador…l’armure noire, le souffle long…
Et bien dans ce film y’en a plein, mais avec des sabres sans laser…ou devrais je dire des Nazgûls???…
Un film parsemé de scènes biens sympas d’actions et de combats avec des sabres s’il vous plait, mais tout ramène à un film de série B.
Le décor se limitera à une zone désert quelconque et sans attrait particulier.
Il semblerait que les moyens n’aient malheureusement pas été au rendez vous, pourtant de bonnes idées étaient là !!!
Après, on est dans le stéréotype du grand méchant qui opprime les gentils et du libérateur providentiel héroïque, mais bon c’est facile de ranger dans une classe un film…
Les acteurs, souvent connus en rôle secondaire, essayent de faire leur possible, mais cela ne fera pas décoller l’histoire non plus.
On est bien loin de « La déchirure » pour Julian Sands ou Robert the Bruce dans « Braveheart » pour Angus Macfayden, mais les moyens ne sont pas les mêmes.
Wes Bentley n’avait pourtant pas un « blackheart » mais des mains blanches…
Un bon film TV mais rien de plus.
