Résumé
Au cœur de Los Angeles, l’agent Maxwell de la D.E.A. travaille depuis de longs mois sur une opération internationale de trafic de cocaïne dirigée par le criminel et psychopathe Vincent Camastra. Lorsque l’agent Beverly Royce, infiltrée auprès de ces dangereux trafiquants, se retrouve à la limite d’une situation qu’elle ne peut plus gérer, Maxwell décide alors d’intervenir de toute urgence afin de mettre hors d’état de nuire ces tueurs impitoyables, de coincer des flics corrompus et de traduire en justice l’homme à la tête de cette organisation criminelle.
Les ripoux version trash gentillet.
Dolph est de retour et même si ce n’est pas la panacée, il a un rôle qui tient la route.
Le scénario suit une petite intrigue et, est copieusement agrémenté de seins de ci de là, ce qui aide visiblement à ne pas s’endormir. Les fusillades sont bien faites, et ça ne tire pas trop dans tous les coins sans jamais recharger.
Les liquidations sont propres et bien foutues et ça se veut un peu plus percutant qu’à l’habitude même si on sent bien que le désir serait de faire passer le film pour un produit plus percutant.
Après rien d’extraordinaire si ce n’est de retrouver un Dolph qui a bien vieilli quand même mais qui pour une fois ne fait pas office de figuration dans une série bouse.
Pas faute en plus de s’être mouillé un peu plus puisqu’il est aussi producteur pour le coup.
A croire qu’en définitive, il devra ses lettres de seules noblesse grâce à Sly qui lui aura offert l’opportunité de briller sur le devant de la scène avec Rocky et Expandables !!!
Quand à la voix off du petit truand de bas étage, auquel on va avoir droit une bonne partie du film, le film aurait largement pu s’en passer.
