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Fast & furious 6

Fast & Furious 6

Tous les chemins mènent à ce Fast and Furious.

20132 h 10 min
Résumé

Dom, Brian et toute leur équipe, après le casse de Rio, ayant fait tomber un empire en empochant 100 millions de dollars, se sont dispersés aux quatre coins du globe. Mais l’incapacité de rentrer chez eux, et l’obligation de vivre en cavale permanente, laissent à leur vie le goût amer de l’inaccomplissement. Pendant ce temps Hobbs traque aux quatre coins du monde un groupe de chauffeurs mercenaires aux talents redoutables, dont le meneur, Shaw est secondé d’une de main de fer par l’amour que Dom croyait avoir perdu pour toujours : Letty. La seule façon d’arrêter leurs agissements est de les détrôner en surpassant leur réputation. Hobbs demande donc à Dom de rassembler son équipe de choc à Londres. En retour ? Ils seront tous graciés et pourront retourner auprès des leurs, afin de vivre une vie normale.

Métadonnées
Réalisateur Justin Lin
Durée 2 h 10 min
Date de sortie 21 mai 2013
Détails
Média
Statut
Images
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L’équipe de Dom va devoir rempiler… pour de bonnes causes, cette fois…. se dédouaner de toutes condamnations et sauver le monde.

 

Oulalalalalalaaaa…..

Une bonne, rapide et furieuse grosse daube qui m’aura laissé au bord de l’indigestion.

Un scénario qui n’a pas eu le temps de mariner et que dire des rôles qui collent comme des gnocchis trop cuits.

En guise d’intro, plus de scène monumentale mais une petite course poursuite de 2 minutes.

Et pour le scénario, là on tape dans le super léger, voir le néant.

Alors oui les caisses sont on ne peut plus belles, le roi scorpion est encore plus énorme, Pitch black a bien commencé son come back pour se refaire, et Letty va pouvoir renflouer son compte en banque, après être revenu sur la mauvaise décision de partir de la « série ».

Ceci étant dit, difficile d’adhérer au sujet tant l’histoire est tirée par les cheveux.

Et on nous ballade à gauche à droite, avec un p’tit crochet en prison pour des nèfles, l’univers carcérale devait ajouter une touche de je n’sais quoi !

Mais après avoir occulté toute réflexion éventuelle, on fait le vide complet et on se régale des courses poursuites, à pied ou en voiture, dans le métro ou dans les rues de Londres….entre autres.

Mais là aussi le plaisir devient vite indigeste tant les incohérences sont Enormes.

Sur que pour un film pareil, on ne demande pas d’en faire des tonnes mais là, on bascule dans le ridicule.

Les dialogues sont à mourir de rire, rien que le chassé croisé sur les quais de Londres, avec Letty et Shaw, après la course poursuite au milieu de Piccadilly (libre de toute circulation) devient fendard…

Je regrette vraiment l’époque des premiers numéros où l’ambiance des runs et démos en tout genre nous régalait, avec des personnages aux couleurs du sujet.

Là on tape dans le toujours plus extraordinaire en faisant l’impasse sur tout le reste, faire du crash pour faire plus de spectacle et le reste on s’en fiche.

Quels regrets.

Et dire que Jason va se coller au truc (dans le rôle d’un vrai méchant, ça au moins c’est acquis) mais après va falloir faire voler les caisses, et la nitro ça explose…mais bon c’est pas grave vu qu’il faut faire du spectacle, un peu comme au cirque…

D’ailleurs, pour les vols, Gibson nous en fait un beau pour échapper à un tank, au moins ça, Viny vole encore plus haut pour toper Rodriguez dans les airs entre deux ponts, comme quoi le trapèze a déjà bien commencé.

Author: admin5508

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