Résumé
Tandis qu’Astrid, Rustik et le reste de la bande se défient durant des courses sportives de dragons devenues populaires sur l’île, notre duo désormais inséparable parcourt les cieux, à la découverte de territoires inconnus et de nouveaux mondes. Au cours de l’une de leurs aventures, ils découvrent une grotte secrète qui abrite des centaines de dragons sauvages, dont le mystérieux Dragon Rider. Les deux amis se retrouvent alors au centre d’une lutte visant à maintenir la paix. Harold et Krokmou vont se battre pour défendre leurs valeurs et préserver le destin des hommes et des dragons.
L’union fait la force.
Les aventures du petit dragonnier reprennent, mais là, ça penche beaucoup plus dans le mélo.
J’ai trouvé le temps assez long sur la première partie, il ne se passe pas grand chose et ça brode sur ce que l’on connait déjà du premier au lieu de développer des éléments nouveaux concernant les personnages ou l’environnement.
Les dragons sont sympas mais pas de grand revers. Le réalisateur semble tendre vers la trilogie mais il ne semble pas d’une grande inspiration, une intro à la Potter et des poursuites en mode avatar… j’espère que la suite s’il y a ne verra pas le retour du grand méchant et la mort de maman. Même Harold ne sait plus où il en est, l’innocence le rendait touchant, l’insouciance rendait ses aventures divertissantes, là c’est la crise existentielle de l’ado sans trop de développement, même pas celle éventuelle d’une amourette…Je m’attendais à plus d’action ou de rebondissements, heureusement le bestiaire est bien coloré et le méchant ne manque pas de traits de caractères intéressants.
Une grosse surexploitation des personnages que l’on connaissait déjà et qui sera partiellement sauvé, heureusement, par la fin de seconde partie. (5)
Les dessins eux procurent toujours autant de plaisir avec des monstres fascinant et des scènes joliment faites. (6)
L’histoire est un peu longue tant dans le développement que dans la durée, mais ce sera peut être aussi pour mettre en place les jalons d’un troisième opus.(4)
Du plaisir mais sans plus avec une grosse complaisance par rapport au premier.
