Résumé
L'aventure palpitante de Tris Prior (Woodley) qui, plongée dans un futur où chaque individu appartient à un groupe choisi selon sa personnalité, se retrouve parmi les inclassables, incapable d'appartenir à un seul groupe, en un mot, Divergente. Lorsqu'elle découvre qu'une conspiration se trame afin de détruire tous les Divergents, elle doit à tout prix découvrir ce qui rend la Divergence si dangeureuse, avant qu'il ne soit trop tard.
Nouvelle prise de la Bastille.
Bien content de voir Woodley avant, prochainement, « Nos étoiles contraires » (et le frangin y est le chéri :chut: ) que je m’apprête à voir. Récompensée déjà de nombreuses fois bien que très jeune, le talent est là quelque soit le rôle. Il semblerait bien que cette divergente soit une touche à tout et ne soit pas impressionnée facilement même face à Winslet méconnaissable, dans son personnage.
Une belle fiction récréative, défendant le libre arbitre et l’abolition de la dictature.
De beaux décors et une reconstitution de Chicago en ruine travaillée.
Pas de scènes extraordinaires à par les belles vues générales du début. Après, un train qui tourne un peu en rond et une « prison souterraine » où semblent se rassembler les grands esprits divergents autant que leurs bourreaux potentiels.
Malheureusement, à chaque fois qu’une scène entame un décor nouveau, ça retombe assez vite.
Il m’a semblé que cela manquait un peu d’action et mis à part des séquences intéressantes sur le sièges, avec des miroirs dans lesquels on ne voit jamais la caméra, ou autre, le reste est assez plat.
L’histoire d’amour naissante est sympa mais de là à occuper autant de place, on peut déjà redouter le 2 s’il venait à venir.
Il ne faut pas oublier que la maison de fabrique est la même que Twilight ou Hunger games…Clairement, toujours pour un public d’ados, du coup, tout le monde y trouve son compte…
Sinon, je peux pas dire que je me sois ennuyé, il y a beaucoup d’étapes qui font passer les 2 heures rapidement mais le contenu étant plus que lisible dès le départ, il n’y a finalement pas de surprise.
