Résumé
Adam et Eden vivent depuis toujours à l'envers, sur deux planètes situées l'une au-dessus de l'autre. Elle appartient au monde d'En Haut, prospère. Lui tente de survivre dans le monde d'En Bas, miséreux et détruit par la guerre. Le seul contact autorisé entre ces deux univers se fait via la société Transworld, dont l'immeuble forme un pont. Un jour, le jeune orphelin gravit le sommet de la montagne et aperçoit Eden. Les deux enfants prennent l'habitude de se retrouver clandestinement, là où leurs mondes se touchent presque, et tombent éperdument amoureux. Faisant fi des lois physiques et politiques, ils franchissent la frontière interdite pour se voir jusqu'au jour où un accident laisse Eden pour morte. 10 ans plus tard, Adam retrouve sa trace, mais la jeune femme, amnésique, n'a gardé aucun souvenir de lui...
Deux mondes opposés, à commencer par leur gravité, voit l’amour de deux êtres grandir envers et contre tout.
Mais quel sera le prix à payer…
Un projet réellement ambitieux, voir avant-gardiste.
A lire le sujet, j’étais emballé de voir ce que pouvait donner un thème pareil.
Mais dès le début, une description en voix off, qui s’éternise, peine à mettre les règles du jeu en place malgré une volonté perceptible de les rendre accessible.
Le souci est que très vite, les règles sont transgresser ou aménager suivant les besoins…
Les décors et effets sont surprenants mais le mélange de tout ce qui entoure les amoureux se confond finalement.
Sur que gérer tous les paramètres opposés ne rendra pas la tâche facile.
Au final, le film souffre de beaucoup de longueur pour une histoire qui tourne uniquement autour de love story en apesanteur.
A noter, un bisou à l’envers, bien connu de Miss Dunst, à sa nouvelle araignée…
Les acteurs ne sont pas mauvais mais ça reste un peu brouillon.
Beaucoup de choses sont évoquées comme les expériences avec le copain Bob, mais rien de développé qui aurait pu enrichir l’histoire et la compléter entièrement.
Un film, sans surprise pour un sujet énorme, un peu de confiture rose d’abeilles au cochons….
