Affiche du film "Under the Skin"

Under the skin

Under the Skin

20141 h 47 min
Résumé

En Écosse, au volant d'une camionnette, Laura, une extraterrestre d'apparence humaine, vêtue d'une fourrure, séduit des hommes. S'étant assurée qu'ils vivent seuls, elle les fait monter dans son véhicule. Elle les entraîne dans une maison sordide où elle les incite à se dénuder. Tandis qu'ils s'avancent vers elle et qu'elle recule, ils s'enfoncent et disparaissent peu à peu dans le sol devenu liquide. Leur dépouille va servir à donner apparence humaine à d'autres créatures...

Métadonnées
Réalisateur Jonathan Glazer
Durée 1 h 47 min
Date de sortie 14 mars 2014
Détails
Média
Statut
Note Mauvais
Images
Aucune image importée pour ce film.

Les petits boudins.

Un film pour les fans de Scarlett dont je ne fais absolument et définitivement pas partie. En plus, pour moi, elle n’a déjà pas un physique gracieux, mais alors là, on a droit à des visions dans des accoutrements la mettant encore moins en valeur ce qui n’arrange pas la chose. Un jeu inconsistant cherchant péniblement à jouer le manque d’émotion et de sentiment en forçant le trait sur des yeux qui s’escriment à vouloir rester figés pour donner une dimension à un personnage bien lassant.

J’ai bien aimé certaines scènes comme l’engloutissement et l’absorption des personnages masculins une fois digérés telle une curiosité amoureuse jamais assouvie, mais le film n’exploite peut être pas cette voie, et la plupart du temps je me suis demandé où cela allait mener si ce n’est à montrer des images parfois incohérentes à mes yeux, pour donner une pseudo dimension au récit.

Tout est assez décousu, avec des aller et venu qui ressemblent à un conte que j’ai trouvé finalement bien soporifique.

Surement une belle réussite artistique ou technique, mais qui ne m’effleure pas du tout car je ne trouve qu’une répétition de faits identiques tout du long sans vraiment d’évolution d’un personnage ou d’un autre. Le film piétine allégrement autour du thème de « La mutante » sans jamais rien apporter de plus si ce n’est de la lassitude. Au moins, avec ce dernier, en plus du spectacle, on avait droit à the body, avec la superbe Henstridge n’ayant pas besoin d’avoir recours aux superbes paysages Ecossais pour donner une quelconque envergure au film. Là au moins, le personnage avait une présence et absorbait son public masculin

Une Johansson dont je ne comprends toujours pas l’intérêt tant elle émane peu de chose. Et dire que Besson s’y colle aussi, même s’il a l’art de bien mettre en valeur ses actrices féminines, je me demande bien ce que va faire la Lucy…

Author: admin5508

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