Affiche du film ""

Transcendance

Transcendance

20141 h 59 min
Résumé

Dans un futur proche, un groupe de scientifiques tente de concevoir le premier ordinateur doté d’une conscience et capable de réfléchir de manière autonome. Ils doivent faire face aux attaques de terroristes anti-technologie qui voient dans ce projet une menace pour l’espèce humaine. Lorsque le scientifique à la tête du projet est assassiné, sa femme se sert de l’avancée de ses travaux pour "transcender" l’esprit de son mari dans le premier super ordinateur de l’histoire. Pouvant désormais contrôler tous les réseaux liés à internet, il devient ainsi quasi omnipotent. Mais comment l’arrêter s’il perdait ce qui lui reste d’humanité ?

Métadonnées
Réalisateur Wally Pfister
Durée 1 h 59 min
Date de sortie 16 avril 2014
Détails
Média
Statut
Note Pas mal
Images
Aucune image importée pour ce film.

A la recherche du paradis.

 

Petit retour pour Johnny dans un film bien original. Le sujet mêle la présence grandissante de tout ce dont nous devenons esclave, à commencer par l’internet. La possibilité de résoudre le problème de la mort et des fatalités médicales résolues après tant d’expérience, soulevant ainsi des questions d’éthique et de morale en initiant au passage la présence d’une âme. C’est Itskov qui a du être content en voyant ce film, tous ces rêves devenus réalités, fiction.

Pas facile à mettre en place, et même si j’ai trouvé que le scénario était parfois un peu alambiqué, les raccourcis sont appréciables afin de rendre le film plus lisible. Peut être un brin trop simpliste mais ça évite sûrement des écueils tortueux dans lequel on pourrait facilement se perdre, et le doute sur l’essence de l’ « être » incarné par Depp y contribue largement.

On navigue entre le blanc et le noir, la lumière aveuglante des salles qui donne la vie et les pièces obscures tentant de révéler le moi sombre de la machine dans laquelle évolue sa chose, mais cela afin de mieux rebondir sur la fin…peut être…pour une des plus belles manifestations d’une entité invisible, du panthéisme pur ; dommage que cela ne soit évoqué que quelques minutes en définitive.

Un Pfister qui signe sa première réalisation de manière fort honorable, avec un sujet bien emmené, des décors et des effets dans le même ton. Il aura su s’entourer de belles têtes d’affiches, sans vraiment en profiter, même Freeman ne nous raconte pas le pourquoi du comment comme il le fait dans tous les films d’habitude…

Author: admin5508

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