Résumé
Amelle et Noom sont deux jeunes trentenaires que tout oppose et que le destin va réunir. ELLE sérieuse, manager au Starbucks, dynamique et LUI en dilettante, malin, et apprenti comique. Tous deux victimes de déceptions amoureuses, ils ont juré qu'on ne les y prendra plus. Alors comment faire quand malgré tout ces contraires s'attirent ? Un jeu de séduction se met alors en place pour notre plus grand bonheur. Mais tout n'est pas si rose, les familles, les amis, les collègues s'en mêlent, les guerres sont déclarées, les brouilles explosent. Pris entre les racines de leur éducation et le feu de leurs sentiments, quel camp vont-ils choisir ? L’amour triomphera-t-il ? Une chose est sure, ils nous feront passer un bon moment de franche rigolade et d'émotions...
Un amour d’agressivité.
Quel dommage d’avoir décide d’illustrer un personnage féminin aussi antipathique face à un Noom si simple. Surement pour créer un contraste énorme provocant une sorte de comédie mais que cela m’a paru mal présenté.
Une réalisatrice qui joue son propre rôle et qui donne une image vraiment repoussante au final au point de se demander ce que peut bien faire le bonhomme avec cette dernière. En plus, le jeu de caïra sans conviction ajoute encore un plus au personnage sans aucun attrait. L’auteur original de la pièce dont est issu le film, semble avoir voulu faire un cadeau à sa petite femme dans la vie, mais quel carnage.
Au milieu d’une pseudo histoire d’amour, des scènes rajoutées sans intérêt de celle de danse à la course d’entrainement ajoutant un peu plus aux nombreux clichés grossiers. Une énième évocation de réussite de mixité sociale mais mise à part les 5 secondes de fin, on a droit qu’à de beaux conflits successifs!
Pourquoi tant de haine!!! Cela m’a donné l’impression d’une comédie qui ne tourne qu’autour de maux, de mal être sans jamais offrir l’impression qu’une solution, pourquoi pas l’amour, pourrait être la solution. Les rancœurs sont tenaces, la susceptibilité à fleur de pot et à la longue, c’est soulant. On ne fait que se demander ce que le pauvre gars fait encore là. Reste plus qu’à aller boire un bon café…ais pas chez Strabucks
Je me faisais un plaisir de retrouver Noom après l’avoir tant apprécier dans « qu’est ce…. », mais là, j’ai eu l’impression d’assister à une mauvaise histoire ne cherchant qu’à montrer le mauvais côté de tous les stéréotypes mal pensant des arabes au sens larges, plagiant le côté noir sans chercher quoi que ce soit de constructif. Agressive, menaçante et déplacée, Amelle fait fausse route avec cette bien mauvaise démonstration de revendications.
