Résumé
1969, Lately, Floride. Ward Jansen, reporter au Miami Times, revient dans sa ville natale, accompagné de son partenaire d’écriture Yardley Acheman. Venus à la demande Charlotte, femme énigmatique qui entretient une correspondance avec des détenus dans le couloir de la mort, ils vont enquêter sur le cas Hillary Van Wetter, un chasseur d’alligators qui risque d’être exécuté sans preuves concluantes. Persuadés de tenir l’article qui relancera leur carrière, ils sillonnent la région, conduits par Jack Jansen, le jeune frère de Ward, livreur du journal local à ses heures perdues. Fasciné par la troublante Charlotte, Jack les emmène de la prison de Moat County jusqu’aux marais, où les secrets se font de plus en plus lourds. L’enquête avance au cœur de cette Floride moite et écrasante, et révèle que parfois, la poursuite de la vérité peut être source de bien des maux...
Les errements d’un jeune puceau bien crédule.
Une adaptation qui ne sait pas vraiment où elle va. La fiction a, d’après moi, voulu s’enticher de trop nombreuses choses superflues, dénaturant l’original en s’égarant en chemin malgré une collaboration avec l’auteur.
Couloirs de la mort, amours impossibles, enquêtes journalistiques ratées en tout genre des méduses aux séances sm de motel…
On est balancé entre l’histoire d’un prisonnier séduit par des plis érotique envoyés par une pin-up usée qu’elle veut sauver de la peine capitale. Le tout arrosé d’un léger dosage de journalisme sur fond d’histoire romantique avec un petit jeune imberbe perdu entre une nana aussi paumée que lui en définitive et son frère journaleux en quête de succès, plein de secret pour son cadet qu’il ne cherche qu’à protéger bien maladroitement.
Je connaissais beaucoup de Barbies, mais pas la « vieux tapin »…
Kidmann a du forcer un peu trop sur le fond de tain !
Malgré un casting en or, je me suis lourdement ennuyé en attendant désespérément la fin, ou tout du moins quelque chose qui ferait rebondir l’histoire. Mais rien !
Il en restera une relation compliquée blanc / noir sur fond de sentiments torturées et compliquées comme les amours impossibles du jeune Efron, chaperonné par une Macy Gray débordante…le tout enveloppé dans une ambiance bien moite dont le tournage nous imprègne…mais le rendez vous est raté.
Mc Conaughey restera en surface comme Cusack qui n’aura gagné qu’à se farcir la Kidman, et à retourner de là où il vient.
Juste 15 minutes de fin lors desquelles il se passe enfin quelque chose de cohérent, voir ce que l’on pouvait en attendre, pour 1h30 de blablas, et oui presque 2 heures pour ça !!! Quel gâchis…
