Résumé
Un jeune ténor du barreau gagne toutes les causes qu'il défend en mentant comme un arracheur de dents et en usant d'une mauvaise foi abyssale. Mais il est allé jusqu'à décevoir son propre fils qui, écoeuré, conçoit le souhait qu'il soit incapable de mentir pendant vingt-quatre heures. Ce qui va entraîner catastrophe sur catastrophe mais finalement lui remettre les pieds sur terre.
Le rêve de l’avocat, avoir une conscience.
Bon, un peu de douceur dans ce monde de brute. Après quelques chinoiseries assez prononcées, un truc léger pour digérer, et avec Carrey, il n’y aura pas de déception. Un scénario simple sur un sujet qui fera rire tout le monde et une mise en scène rudimentaire avec le minimum syndical, à commencer par une divorcée qui dira amen à tout sous couvert du bonheur de son enfant.
Ahhh c’est beau la soumission et ça fait toujours un peu rêver. 
Plus sérieusement, Jim est encore dans une de ses périodes où il doit forcer le trait et l’exagération lasse un peu. On ne voit finalement que lui pour des rôles environnants assez insignifiant même pour le fils qui restera assez effacé.
Oui, il fait très bien les grimaces mais dommage que le jeu ne soit pas au final un peu plus varié tout du long.
« Bruce tout puissant » sera de loin, une plus belle réussite et pour l’acteur principal et pour le réalisateur.
Une grosse distraction très loufoque qui n’aura pour moi aucune autre vocation au final, mais qui change bien les esprit malgré tout.
