Résumé
Huit ans après les événements surréalistes survenus lors de sa visite au Jurassic Park du richissime John Hammond, le paléontologue Alan Grant se rappelle toujours de sa rencontre, d'abord magique puis effroyable, avec ces dinosaures ramenés à la vie grâce aux incroyables progrès de la génétique.
Troisième volet et je dois avouer qu’il reste celui dont je me rappelai le moins.
Cela commence comme d’hab par une intro cata, recette qui marche apparemment très bien, puis vient la présentation des personnages principaux. Un truc tombe d’un arbre, on avait eu droit à une voiture, maintenant ce sera un avion…Quoi qu’il en soit, le team sera plus sympathique que dans le 2 et c’est avec plaisir que je retrouve Sam Neill en lieu et place d’un Goldblum acariâtre ainsi que la très jolie Téa Léoni.
Le nouvel opus ne joue pas vraiment sur la surprise mais au moins on est dans l’élément des animaux et tout garde une tournure plus « sauvage » et cohérente. Encore un sauvetage et l’occasion de (re)découvrir des animaux fabuleux et l’univers irréel qui va avec. Après, le scénario demeure très linéaire et ne vaudra pas celui du premier dans lequel tout était prétexte à une débauche d’actions. Johnson ne s’en tire pas mal sur les pas de Spielberg (la production de Steven est quand même dans les clous, sait on jamais) et sans la participation de Crichton, en suivant certes, mais enjolivant les scènes d’action avec talent que ce soit dans la volière, les marais ou la rivière. Un bestiaire bien complet à l’image de celui qu’il avait déjà pu illustrer dans Jumanji.
Cela reste tout de même une excellente distraction avec des monstres fabuleusement réalisés. Maintenant il ne reste plus qu’à voir le prochain et espérer que Trevorrow aura été bien inspiré…
