Affiche du film ""

Cent mille dollars au soleil

Cent mille dollars au soleil

19641 h 59 min
Résumé

Aux portes du désert, Castigliano dirige une entreprise de transports routiers. Hans doit conduire un chargement clandestin de cent mille dollars au coeur de l'Afrique. L'apprenant, Rocco élimine le chauffeur, vole son véhicule et part avec sa complice. Castigliano promet alors une forte récompense à Marec s'il récupère le camion. Commence une folle poursuite...

Métadonnées
Réalisateur Henri Verneuil
Durée 1 h 59 min
Date de sortie 16 avril 1964
Détails
Média
Statut
Note Bon
Images
Aucune image importée pour ce film.

Un chauffeur qui n’a pas froid aux yeux se met en tête de voler un camion et son convoi.

Une course poursuite va commencer dans une Afrique aride.

 

France 3 proposait ce soir un grand classique de notre cinéma.

C’est avec grand plaisir que l’on retrouve de grandes figures emblématiques tels Belmondo, Blier énorme dans ce film, et l’incroyable Lino Ventura.

Un film viril, lourd, macho, avec de solides dialogues bien crus et bien écrit (merci Mr Audiard).

A conserver précieusement ; « quand les types de 130 kg disent certaines choses, ceux de 60 kg les écoutent. »

Une présence d’acteurs incroyables, au charisme débordant qui remplissent amplement un film avec des longueurs mesurées.

La chaleur, la sécheresse… un environnement hostile tout est bien rendu, avec un noir et blanc débordant de lumière pour donner chaud.

Une sacrée course poursuite, au parfum de western, à camion svp.

Des camions qui sentent bon la bonne vieille tôle avec des moulins bien généreux et une direction assistée inexistante pour mieux sentir la route, que toutes les sonorités du film nous retransmettent bien.

A revoir la course poursuite en camion à travers les collines du désert, on a froid dans le dos. Et tout ça sur une musique qui balance bien l’ambiance.

Le scénario ne sera pas le fer de lance, mais les relations d’hommes, l’amitié, durs au mal, seront le thème central de l’histoire plus que du mystérieux trésor.

Reste toujours un grand plaisir, avec des piges et corrections qui ne font pas dans la finesse.

Film qui sera le premier d’une longue série entre Verneuil et Belmondo pour notre plus grand plaisir.

Author: admin5508

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *