Résumé
Muzafar et Feruz sont deux gentils bergers du Taboulistan… tout petit pays d’Asie centrale dont personne ne soupçonne l’existence. Afin de faire connaître son pays sur la scène internationale, le fils du président tabouli décide de se lancer dans le terrorisme «publicitaire» et de confier à nos deux bergers, plus naïfs que méchants, la mission de leur vie : détruire la Tour Eiffel ! Pour atteindre leur objectif, ils devront traverser le milieu le plus hostile qui soit : la France ! Une France, bien loin de l’Occident qu’on leur avait décrit : entre les nationalistes corses, les policiers zélés, les taxis malhonnêtes, les supporters violents, les employés râleurs, les serveurs pas-aimables, les administrations kafkaïennes et les erreurs médicales… rien ne leur sera épargné. Ils rencontreront heureusement Marianne, jeune et jolie journaliste qui, pensant qu’ils sont deux sans-papiers, leur fera découvrir un autre visage de la France... Vive la France !
La France est belle, généreuse, accueille et entretient les plus belles femmes du monde…et qui mieux que les Français pour passer à côté….Heureusement le Taboulistan est là pour nous le rappeler…et faire parler de lui……
Michaël « bouge son boule » avec l’ex d’Obispo (à présent, sa soumise) avec qui il aura été de « mauvaise foi et pas que nocturne ».
Une comédie qui commence pas mal.
Des scènes de bafs attendues à chaque fois et qui donne une nouvelle vision de l’action qui va rester…en dansant.
Une danse de la joie, hymne national révolutionnaire et génial…
Dès le début, on comprend vite que ce sera très léger mais ça se laisse regarder.
En plus, le couple Youn / Garcia est clairement crédible dans un rôle décalé complet et ça marche bien.
Le problème, c’est que l’histoire s’essouffle très vite, les gags sont de plus en plus épars et le sujet piétine un peu.
On a pas « bégère » et c’est déjà pas si mal pour un film au parfum de « chamallow ».
Pas de « kebab » ni de « crèpe au froment », mais un scénar « trankil » sans « chien » mais avec des mignons petits hamsters kamikazes….
En tous cas, Youn fait un beau travail, sérieux (par rapport à un Fatal dégenté).
On sent les petites touches Garcia qui chauffent les joues.
L’ensemble suit une histoire chronologique et ne se laisse pas emporter par ses émotions.
L’enfant agité aura donc trouvé sa muse en Isabelle ???
Merci Pascal……..et à Denisot pour sa promotion sous « haute tension » terroriste au festival de Cannes….
FINITÄT