Résumé
Pendant les Guerres de Genpei, fin du XIIè siècle, les gangs de Minamoto et de Taira s'affrontent dans une ville nommée Yuda. Un cowboy solitaire viendra à la rescousse des habitants...
Tarantino au milieu des yellow cow.
« Il ne faut jamais s’avouer vaincu », et surtout ne pas oublier de porter fièrement les petits percings brillants, les extensions colorées et le visage bien sal pour faire plus cow boy new age. Des jaunes qui jouent aux cow boy avec pour tête de file un meneur aux inspirations shakespeariennes et des indiens qui jouent de la trompette. Là, fallait quand même oser. Sans parler qu’on a même droit au cercueil tiré….avec une surprise, pure remake où tout pète pour le coup, une femme meurtrie par un passé douloureux, amoureuse du solitaire, la dualité de deux clans, rouge et blanc, symboles qui en d’autres épisodes, autres lieux étaient……….mais bon sang, c’est un remake et une fin qui ne pouvait être qu’aux abords d’un cimetière.
Aussi bien pour Tarantino que Takashi, il semble y avoir une réelle admiration pour ce cher Corbucci!!!
En tout, j’ai bien ri, que ce soit avec les dialogues ou les pétarades avec ce film qui est un bon délire et ne se prend vraiment pas au sérieux.
Après une seconde vision récente, je reviens mettre le couvert et rajouter un peu à ce bon délire du genre car au final je me suis bien amusé et j’en rajouterai pour les monologues et présences d’un Tarantino qui valent le détour sur un décor théâtral hors normes.