Sous les jupes des filles
Un film de femmes pour les femmes ... et les hommes qui les aiment
Résumé
Paris, 28 premiers jours du printemps. 11 femmes. Mères de famille, femmes d'affaires, copines, maîtresses ou épouses... Toutes représentent une facette de la femme d'aujourd'hui : complexes, joyeuses, complexées, explosives, insolentes, surprenantes... Bref, un être paradoxal, totalement déboussolé, définitivement vivant, FEMMES tout simplement !
Le chant lexical du Q.
Un film de filles, joué par des filles et fait par des filles. Elles sont de tout âge et les problèmes d’époques, de règles et dépilatoires vont être passé au crible pour une séance de plaisir pour une fois.
Les actrices se jouent de tout à commencer par les tabous, et on en rit. Elles sont à le recherche de ce que les hommes désirent finalement et elles le prouvent. Elles revendiquent l’autonomie, le droit au plaisir et l’autorité.
On redécouvre chacune des actrices sous un nouveau jour, je dirai presque à nu, sans pudeur.
Les histoires se croisent jusqu’à s’emmêler et faire de toutes les histoires parallèles une seule dans laquelle elles se retrouveront autour d’un verre.
Un idéal d’amitié et de soutient entre copine pour le partage et le combat toutes ensemble.
Aucune ne tire la couverture à soi et chaque fois l’ambiance est bonne. Pas évident pour des histoires de gonzesses…
Adroitement dirigées, les histoires ne nous perdent jamais. Ca n’est jamais morose et les combats extraconjugaux sont pimentés à grand coup de dialogues épiques. L’homme y est souvent objet et reflète une époque qui change sauf pour nous, les vrais…
Je pensais me perdre dans ces histoires de rencontres féminines et au final on a rit tout le temps. Ca sent la déconne et fait du bien en nous mettant parfois à l’index mais en nous laissant toute notre importance, pas folle.
Dana divertit avec cette comédie qui fête l’importance des copines et de leur soutient au bon moment.
Des traits pour chacune si différents qui enrichissent ce moment qui passe à tout allure.